nom complet : Jarvis-Xander George Ewan Berkeley. Ouais ouais, c'est un prénom composé que j'ai. Et puis le premier qui m'appelle George, je lui nique sa grand-mère ! ✜ âge : 21 ans, la majorité babe ! ✜ date et lieu de naissance : 27 Septembre à Los Angeles. Mais LA c'est trop des fous là-bas ! ✜ nationalité et origines : Américaine, et de même pour mes origines. Après bien sûr, je ne remonte pas jusqu'aux indiens ! ✜ profession/études : J'étudie la criminologie. Tel père tel fils, il paraît. ✜ statut civil : En couple, et tu touches pas à mon coeur, si j'te bute, okay ? ✜ situation financière : Si mon papa est riche, et bien moi je galère des fois à payer mon cinéma. The fuque, hein ? ✜ groupe : Pursuit of Happiness. Parce que l'Happiness ceytroplavie. ✜ avatar : Choucroute cendrée, aka Niall Horan.

chocolat ou vanille: Chocolat c'est pour les gars ! Et parce que bon, je suis pas une fille, et que j'aime pas les filles. Problem with that ? ✜ nuit ou jour : J'sais paaas. Les deux c'est cool. Et puis je dors jamais moi, je suis un vampire, t'ayu ? Les vampires c'est cool. Mais pas un vampire tapette comment dans twilight, hein ? Non non, des vrais de vrais ! Bref, je m'embrouille. La nuit parce que je suis un mec, un vrai. Un mec vampire quoi. Et puis le jour parce que c'est cool le jour aussi. ✜ amour ou amitié : Amour ! Je t'aime mon Alex à moi qui m'appartient, et le premier qui touche il aura bobo ! ✜ sucré ou salé : Ouaich, sucré. Sucré c'est la vie ! Si mon père m'empêchait pas, j'pense j'passerais ma vie à bouffer des glaces. ✜ lève tôt ou lève tard : T'es taré ou quoi ? Lève tard, sinon j'suis grave une loque humaine, ouaich. Et sérieux, t'as pas envie d'voir ma gueule quand je suis une loque humaine. ✜ thé ou café : Café café café café café. Merci papa Berkeley de m'avoir rendu addict à cette boisson d'enfer ! -ironie- Non mais attends, j'ai besoin de ce truc tout noir caca pour carburer moi, sinon j'tombe ! J'te jure ! ✜ soleil ou pluie : Euh… celui qui dit la pluie je le défonce, okay ? Parce que bon, venez pas vous plaindre après avoir vu ma tête quand j'ai pris la pluie hein ? C'est encore pire qu'une loque humaine ! J'te jure, on dirait un chiot mouillé. ✜ rencontre hasardeuse ou calculée : Hasardeuse. Si c'est tout calculé, tu te fais chier dans ta vie à un moment. Mais bon, il y a des maniaques du contrôle. N'est-ce pas mon papounet d'amour ? ✜ câlin du matin ou câlin du soir : Câlin tout le teeeeeemps. Ouaich, faut pas déconner non. ✜ mer ou montagne : La mer, c'est bien plus sayksy. Et les gens ils puent moins la transpiration.

il a un jumeau du nom de Ezra. + il aime - que dis-je : il adore ! - se réveiller dans les bras de son amant. quand cela n'arrive pas, il ressent une sorte de manque toute la journée. + il passe toujours trois heures dans la douche et devant le miroir, notamment pour s'occuper de son brushing, tel une fille. + il adore et déteste en même temps son papounet. faut dire qu'il est grave quand même, le vieux. + il aime bien faire des choses immatures, comme se dessiner une moustache, se déguiser, faire opération commando dans l'université et surtout faire plein de grimaces. + ardu de la musique, il a travaillé pendant des années pour avoir la jolie voix qu'il a aujourd'hui. il joue également du saxophone, de la clarinette basse, de l'harmonica et de la guitare. sans oublier qu'il ne fait presque que danser quand il est chez lui, et qu'il passe son temps à siffloter des airs de chansons. + il est ceinture noir de judo, rouge de kung-fu et connaît très bien les bases du self-défense. + il est très agile mais également très casse-cou. ce n'est pas rare qu'il rentre dans son appartement avec des hématomes. il sait sauter contre les murs à la Matrix, par exemple, et est le pro du saut périlleux. + il adore les hauteurs. dans les parcs vous le trouverez dans un arbre, et chez lui il aime étudier assis sur la table du salon ou encore mieux sur l'armoire de la chambre. + son père a beau être riche, il ne le fournit pas en argent. il a toujours appris à se débrouiller par lui-même. c'est pourquoi sans Alex, son petit copain, ses fins de mois seraient difficiles. + il est gay et s'assume complètement. il est presque même du style à le crier sur tous les toits à qui veut l'entendre. et attention, pas touche à Alex ! + il partage un appartement modeste, en colocation donc, avec Alex. + il a un petit chat surnommé Driss qu'il adore. son deuxième amour de sa vie. + depuis qu'il a été kidnappé, il a peur du noir. + allez savoir pourquoi mais il déteste le orange comme il haïrait une personne normale. + il déteste aussi les bananes. du coup il se promène toujours avec une pomme sur lui. + un vrai petit geek, il est un professionnel du piratage, et est toujours le premier au courant des nouveautés au niveau séries ou jeux vidéo. + il est assez grossier, et jure à longueur de journées. + petit il était très blond, aujourd'hui ce n'est plus qu'une teinture, tirant plus sur le châtain clair maintenant. il s'est toujours éclaté à se faire plein de teintures différentes. + plus grand, il voudrait être un agent de la Divison. merci papa Berkeley de lui mettre ce genre d'idées dans la tête. + c'est un gros fumeur.

« Dis papa, c’est quoi ton travail ? » Qui un jour aurait cru que Percival Berkeley, plus connu sous le nom commun de Percy, eut deux fils. Oui, parce qu’en plus il avait mis au monde des jumeaux… Non. Qu’il soit tout simplement capable d’amour ? En tout cas, d’aussi loin que Xander se souvienne, il n’avait jamais connu sa mère, alors si on pouvait parler d’amour paternel, rien n’était moins sûr pour l’amour dans le sens qu’on le comprend généralement. Mais bon, père souvent absent, une nourrice pour s’occuper du petit garçon qui n’avait même pas encore atteint l’âge de raison, et pourtant ce dernier ne s’en portait pas plus mal. Il gardait le sourire, la pêche. Il rayonnait. Assis sur les genoux de son père, il triturait sa cravate bleu ciel qui faisait ressortir la couleur de ses yeux. « Et bien… C’est compliqué. » Oui, c’est toujours compliqué pour un petit garçon de l’âge de Jarvis. Mais pourtant, là, papa Berkeley, n’avait pas tort du tout. Non, il avait même raison. Comment aurait-il pu dire à son fils qu’il était à la tête d’une organisation secrète gouvernementale appelée Division, et qu’il tuait chaque jour des gens ? De un, il ne serait pas prêt à l’entendre. De deux, il ne voulait pas le mettre en danger plus qu’il ne l’était déjà, rien qu’en étant son fils. Alors voilà, pour le moment il était juste le justicier qui combattait le mal aux yeux du petit enfant qui idolait son père.



« Tu viens jouer chez moi, demain, Jarvis ? » Le blondinet acquiesça de son éternel sourire enjoué, avant de checker son ami et partir en trottinant chez lui. Le fameux lendemain, on était un samedi, et les enfants de onze ans ce n’est vraiment pas comme les adolescents à glander chez eux toute la journée sans rien faire du tout. Non non, à cet âge ils ont besoin de se dépenser, en constante agitation. À peine levé, vers dix heures et encore il était un lève tard, il sauta hors du lit et gambada jusqu’à la cuisine pour se faire un bol de céréales rempli à ras bord de lait. Qu’est-ce qu’il aimait cela, le lait. Bien sûr, son père était encore au travail, il était toujours au travail, et il ne rentrerait probablement pas du week-end. La constatation l’attrista un peu, mais insouciant comme il était, il finit par hausser des épaules et attraper une pomme au passage avant d’embrasser sa nourrice qu’il aimait comme une mère, ébouriffer les cheveux de son petit frère et partir presque en courant vers la maison de son ami Alex. Vous savez, quand on joue à cet âge, on ne s’occupe pas de faire attention à la boue et ses affaires. Et c’est ce qui se passa encore cet après-midi. Après deux bonnes heures intenses à jouer au football, ils s’écroulèrent au sol, la tête de Jarvis sur le torse de son ainé. Ce dernier, d’un geste machinal lui caressa ses beaux cheveux désordonnés. « Nous c’est pour la vie, hein Alex ? » Ce n’était même pas une question, et ils se sourirent silencieusement, dans ce confort qui leur était propre et unique.



Les deux jumeaux se débattaient, combattaient, se bagarraient pour savoir qui aurait le dernier muffin au chocolat. Leur nourrice était une excellente cuisinière, et les deux blondies étaient de vrais gloutons. Ils se jetaient toujours tels des affamés sur les pauvres petits plats qui n'avaient jamais demandé autant de violence, pour les engloutir en quelques minutes. Jarvis et Ezra se ressemblaient vraiment sur pas mal de points, mais cela n'empêchait pas non plus qu'ils s'entendaient à merveille. Ils étaient vraiment un peu comme des meilleurs amis, et s'ils n'avaient pas été frères, pour sûr ils seraient devenus inséparables d'une toute autre manière. Finalement, se fut Ezra qui réussit à gober le dernier pauvre petit muffin, et Xander explosa de rire quand son jumeau devint tout rouge, s'étouffant presque à cause du gâteau qui n'avait vraiment rien demandé. Qu'est-ce qu'ils en faisaient des conneries ensemble ! Leur jeu préféré était de se faire passer l'un pour l'autre, et voir jusqu'où ils pouvaient aller. Et je vous en passe des vertes et des bonnes hein. Mais leur relation ne s'en arrêtait pas là. Oh non ! Quand l'un allait mal, l'autre était toujours, mais toujours alerte pour le réconforter. C'était même la priorité, le reste pouvait aller se faire voir. Ezra qui commençait sérieusement à s'étrangler à cause du muffin, et toussait comme un cochon à l'abattoir, Jarvis sauta agilement pour se retrouver derrière son frère et lui tapoter le dos, pour que le gâteau passe enfin par le bon trou. Une fois fait, ils se regardèrent dans les yeux, et ne purent s'empêcher d'exploser de rire. C'était vraiment des cas ces deux là.



On dit que l’enfant est inconscient, mais c’est également bien vrai pour l’adolescent qui se pense invincible. Jarvis s’était toujours cru hors d’atteinte. Vous savez, on pense toujours que cela arrive aux autres et jamais à nous. De plus, il avait un père qui était à la tête de l’organisation la plus puissante du gouvernement américain, alors qu’avait-il à craindre ? Et bien… Tout. Son père n’était pas l’homme le plus gentil du monde, et il s’était fait des ennemis. Quelles ne furent pas la surprise et l’angoisse de Percy et Jarvis lorsque ce dernier se retrouva à l’hôpital, parce qu’il s’était fait kidnapper pour faire chanter le Boss de la Division. Cependant, non je ne peux pas dire que cela aurait été simple parce que ce n’est pas vrai, mais cela aurait pu être moins ardu si les hommes de papa Berkeley avaient suivi ses ordres. Complications… Il y a toujours des complications, et se fut Xander qui en reçut les conséquences. Alors voilà, il était à présent allongé dans un lit d’hôpital, la gueule complètement défigurée à cause de coups qu’il avait reçus, surtout ses dents en avaient pris un coup, et son père plus inquiet que jamais à son chevet. De cet incident, Jarvis n’en reparla qu’une seule fois, pour fondre en larmes dans les bras d’Alex. Son père avait beau essayé de son montrer chaleureux, compréhensif, les pédopsychiatres avaient beau être avenants, il n’y avait rien à faire. C’était un traumatisme qu’il gardait pour lui, pour lui et Alex. Pourtant, pas une seule fois il perdit son sourire qui faisait sa réputation.



« Je m’en vais pour San Francisco demain… » Jarvis faillit s’étouffer avec sa glace au chocolat, et adressa un sourire rieur à Alex. Genre il lui racontait une bonne blague. Mais l’air sérieux de son meilleur ami lui fit rapidement perdre son sourire enjoué. « Tu plaisantes, hein, Alex ? » Ce dernier soupira devant le déni de son cadet. Seize ans qu’ils se connaissaient, jour pour jour, depuis la naissance de Jarvis pratiquement, et voilà que maintenant ils allaient devoir se quitter à cause d’un déménagement, d’une dérogation de la mère d’Alex. Tout cela était bien trop con. « Mais pourquoi est-ce aussi précipité ? » « Ça ne l’est pas. C’est prévu depuis deux ou trois mois, mais j’ai décidé de ne pas t’en parler, pour pas que tu sois triste. » Quel abruti… Il fallait toujours qu’il soit celui qui le protège. Encore plus depuis l’accident de Xander il y a un an. Il se sentait tellement inutile, le boulet de son meilleur ami, cela lui donnait envie de pleurer. Il avait l’impression qu’il allait le perdre pour toujours, que c’était bien la dernière fois qu’ils se parlaient. « Je te promets qu’on se retrouvera Jarvo. Je te promets. » Ce dernier se contenta de hocher la tête et renifler, sentant les larmes lui piquer les yeux. Il savait que c’était sûrement une connerie, cette promesse, mais naïvement, il préférait le croire. L’espoir fait vivre, comme qui dirait…



Affalé sur le canapé, Jarvis regardait distraitement la télévision, alors que Ezra gratouillait gentiment sa guitare à côté de lui, et pendant que leur père, rentré pour une des rares fois à la maison, travaillait tranquillement derrière lui, sur la grande table du salon. Depuis l’accident, il y avait trois ans, leur relation s’était dégradée, l’adolescent devenant de plus en plus rebelle vis-à-vis de son paternel, qui lui non plus n’était pas des plus faciles, il fallait admettre. Néanmoins, il semblait encore tracassé de ce qu’il s’était passé par sa faute, et cherchait comme un moyen d’éviter que cela se produise une nouvelle fois. « Dites les enfants, j’ai bien pensé… Que dirais-tu de déménager ? » Le jeune homme sauta instantanément sur ses pieds, toujours très alerte, faisant sursauter son jumeau qui était toujours assis à ses côtés sur le canapé. Lui qui n’avait pas cessé de penser à Alex durant ces deux dernières années, il voyait enfin l’opportunité d’aller le retrouver. « San Francisco ?. » Alors que Percy avait d’abord haussé un sourcil à l’étrange réaction de son fils, comme s’il avait des réactions normales parfois, sourit à la réponse éclaire de celui-ci. « Pourquoi pas… Mais il faudra que tu m’expliques pourquoi cette ville en particulier. » Jarvis sauta littéralement dans les bras de son père, qui fronça les sourcils pas habitué aux élans d’affection, même de la part de son fils, avant de se détendre et de passer ses bras par dessus ses épaules dans un essai de câlin un peu maladroit. « T’es le papa le plus génial de monde. » Percy ricana à cette remarque. C’était bien la première fois qu’il entendait ce genre de compliment à son égard.



On se retrouve à présent trois ans plus tard. Trois ans que Percy et Jarvis ont emménagé à San Francisco. Deux ans que Jarvis a retrouvé Alex. Un an et demi qu’ils sont officiellement ensemble. Ezra partait en tournée de temps en temps pour son groupe qui marchait plutôt bien, mieux que les jumeaux l’avaient espéré, et Jarvis ne pouvait qu’être content pour son frère. Le blondinet se réveilla doucement bercé par les chauds rayons d’un soleil matinal, confortablement installé sur le torse nu de son homme. Son homme, c’est bien compris ? Lorsqu’il repensait que ses amis le taquinaient auparavant sur le fait qu’Alex et lui étaient gays ensemble, qu’il se mettait en colère et leur casser la gueule en jurant haut et fort qu’ils n’étaient qu’amis, il se mettait à glousser comme une fille conne que l’on croisait dans la rue. Il se devait de s’excuser… s’il les revoyait un jour. Qui pensait également qu’en s’inscrivant sur un site qui paraissait aussi stupide que meetic, aka jecherchequelqu’un.com, il retrouverait son meilleur ami d’enfance, et qu’il se rendrait peu à peu compte qu’il en était amoureux. Enfin… heureusement qu’Alex avait fait le premier pas, parce qu’il était un peu lent à la détente, parfois. Surtout quand cela revenait aux amours. Le réveil sonna, et il dut émerger complètement, gémissant dans un semblant de plainte, se tirant hors des bras de son amour et se dirigeant vers la douche. Ils partageaient également un appartement depuis la rentrée, son père l’ayant presque jeté dehors, pour son bien et il n’avait pas refusé du tout, lorsqu’il eut atteint la majorité. Cela allait être encore une année bloody fantastique !

pseudo/prénom : Papa Noël. ✜ âge : Bientôt la majorité, susu. ✜ où as-tu connu le forum : Bazzou… BAZZART ! ✜ te plait-il : Non, il est grave moche… Trouffion ! ✜ temps de connexion : Tous les jours, mais RP seulement le week-end et le lundi. ✜ ton personnage est-il un scénario : Non, mais il est cool ! ✜ un dernier mot : I'M NOT GAY ! (oupresque) ✜