CHAPTER ONE.

”NIELS ! Jazz’ est là !”, hurla ma mère depuis le bas des escaliers. Jazz’, c’est à seule véritable amie de sexe féminin. La seule avec laquelle j’ai réussi à entretenir une relation saine. Les autres filles restent des passades généralement. Je descendais les escaliers quatre à quatre, rejoignant la jeune femme qui s’était mise sur son trente-et-un. ”WHOA! T’es magnifique.”, lui soufflais-je en arrivant à sa hauteur. Elle leva les yeux au ciel, comme ma mère quand je raconte n’importe quoi. ”Et toi, un sacré menteur.”, déclara-t-elle, en souriant. Jazzlyn, n’était pas le genre fille sexy, qui le sait et qui est très sûre d’elle. Non, elle est plutôt … Ronde, comme la lune, et elle déteste son corps. Tout ça à cause des imbéciles qui peuplent notre établissement scolaire. Je vous accorde que j’attache pas mal d’importance au niveau du physique pour mes conquêtes, mais je connais Jazz’ depuis ma plus tendre enfance et de plus, ce n’est pas une de mes conquêtes. Bref, ce soir-là, je devais me rendre au restaurant avec ma famille, elle avec la sienne, et avant cela, elle en avait profité pour passer me voir. Elle avait toujours été ainsi, gentille, loyale et généreuse. A coté, je passe pour le pire des amis. ”Alors cette soirée, comment s'annonce t-elle ?”, lui demandais-je malicieusement, une fois tous les deux allongés sur mon lit. Elle eut un sourire désabusé. ”Et bien, je suppose que tu vas bien t'amuser avec ta famille, moi, je vais encore subir les engueulades de mes parents, ainsi que la présence de leurs conjoints respectifs.”, résuma t-elle, en tournant la tête vers mon visage. Je lui souris et passait un doigt sur sa joue. Elle avait l'air triste. ” ON va passer une excellente soirée. Ca va aller, et puis, si ça se passe mal, tu sais que la maison est toujours ouverte, hein ?”, lui déclarais-je, et elle vint se caller dans mes bras. Nous nous quittâmes quelques minutes plus tard, et direction, le restaurant préféré de mes parents. Alors que nous poussions la porte de l'établissement, je croisais le regard de la femme qui changera ma vie à jamais. En bien ou en mal, à vous de voir ... Une blonde magnifique, je ne la quittais pas du regard trop hypnotisé. Cela s'était terminé dans un bar, puis dans un lit. Puis plus rien.

CHAPTER TWO.
Trois ans, on passer, j'ai grandi. Et cette blonde qui n'arrête pas de hanter mes pensées. Je n'avais pas pu m'empêcher de le raconter à Jazz', cela avait sembler lui faire de la peine.”Je suis sûre, qu'elle t'a oublier, alors c'est à ton tour de le faire.”, s'agaça t-elle, avant de claquer ma porte. Quelques jours plus tard, j'avais appris qu'elle partait pour un camp d'obése. Nous nous étions violemment disputés, pour un truc stupide avant qu'elle ne parte ... Bref, Romane, mon aventure d'un soir, était revenu dans ma vie sous forme de ma professeur de littérature. Autant dire, que j'avais une mine bizarre lorsqu'elle était entrée dans l'amphithéatre. J'avais laché un "putain", assez sonore et quelques uns de mes voisins s'est retournés en fronçant les sourcils. Je restais donc souvent après les cours, me rendant quelques fois en retard à mon entrainement de football. Mais, elle ne s'intérressais pas plus à moi, qu'au temps qu'il faisait à l'extérieur de l'université. J'ai failli baisser les bras, jusqu'à ce que sa meilleure amie, ne me dilvugue le pourquoi de sa distance avec moi. Un enfant de trois ans. J'étais père ? Je n'étais pas prêt à l'être mais, Romane va sans doute avoir besoin de me fournir des explications ... Et comme les problémes ne viennent pas seuls : Jazz' revient elle aussi à San Francisco après trois ans d'absence. Elle s'était pointer à l'université, pendant mon entrainement de football.. ”Adoni, il y a une bombe qui te reluque quelque chose de bien ...”, plaisanta un de mes coéquipiers et je me détournais pour la regarder. Je la reconnue immédiatement, et je quittais le terrain pour aller la saluer. Elle était devenue magnifique, comme une mannequin pour publicité de maillot de bain ou un truc du genre. Une fois à sa hauteur, je l'enlaçais.”J'arrive à faire le tour de ton corps maintenant.”, constatais-je avec malice, et elle me sourit. J'avais l'impression de retrouver un souffle nouveau. Mais c'est le calme avant la tempête ...