(m) LIBRE - PETTYFER

nom au choix, steven.
tell me now where was my fault in loving you with all my heart.
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tell me that you love me more.

nom complet : steven au choix. ✜ âge : vingt-deux ans. ✜ date et lieu de naissance : sept septembre quatre-vingt-dix, à liverpool. ✜ nationalité et origines : anglais, origines au choix. ✜ profession/études : au choix, mais rien exceptionnel, steven n'a jamais eu assez d'argent pour faire de grandes études. ✜ statut civil :célibataire. ✜ situation financière : à présent dans la moyenne grâce à de petits boulots, mais à longtemps vécu avec très peu d'argent un fin de mois. ✜ groupe : pursuit of happiness. ✜ avatar : alex pettyfer ou au choix, mais le monsieur doit avoir les yeux bleus.

all we are is everything that's right.

HONNÊTE, PARESSEUX, RESPONSABLE, JALOUX, VOYAGEUR, VULGAIRE, DRÔLE, IMPULSIF.

il a grandit dans le quartier le plus pauvre de liverpool, l'entreprise horlogère de ses parents ayant fait faillite pour cause de blanchissement d'argent juste avant sa naissance. + c'est un grand fan de football, du liverpool football club plus particulièrement, c'est d'ailleurs à l'un de leurs matchs que lui et frankie se sont rencontrés. + depuis deux ans, c'est à dire depuis le départ soudain de frankie, il fait le tour du monde avec le peu d'argent qu'il a, dormant parfois dehors, vagabondant dans les rues à la recherche de nouvelles cultures. aujourd'hui il se pose à san francisco, sans savoir que c'est ici que la jeune kewell se trouve. + il n'a jamais connu la cause de son départ et pense que frankie lui en veut pour il ne sait quelles raisons. + il a un accent très prononcé, ce qui fait que de nombreuses personnes ne le comprennent pas. il a appris, avec le temps, à le contrôler. mais lorsque le ton monte, son accent scouse remonte à la surface et il faut alors s'accrocher pour comprendre tous ses propos . + mettre ici les informations importantes du scénario. + grand fan de rock anglais, il s'adonne à de nombreuses heures de guitare dans divers parcs lorsque le temps lui le permet. + à force de traverses les divers pays, ils parle maintenant couramment l'espagnol, l'allemand et le français.

you shoot me down, but i won't fall.

extrait de ma fiche:

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▽ obsessed by you, your looks, well, anyway, i would any day die for you. liverpool, angleterre. ; 2009.

frankie et steven ●● Steven a tout pour plaire : son sourire en ferait craquer plus d'une, ses yeux bleus comme l'azure donnent des envies de voyages et d'inconnu. Sa voix, si grave et pourtant si douce, comme une mélodie qu'on aimerait entendre sans répit, jour et nuit, hante les pensées de la jeune Kewell Granby. Steven est un artiste, un musicien né, talentueux. Un don tombé du ciel, que d'autres jalousent tant. Steven aime Frankie, et la jeune fille l'aime aussi. Mais Steven n'est pas noble. C'est pourquoi ils doivent se cacher. Leur histoire est passionnelle, intense, jamais ennuyeuse, interdite. Ils se retrouvent le soir, loin du regard méprisant et mesquin de la haute société scouse. Seulement là alors se sentent-ils en liberté, en harmonie. Leurs rendez-vous sont peu nombreux et pourtant cela donne tout son charme à leur relation : elle est complexe, les autres n'accepteraient sûrement pas. Frankie le sait très bien : si ses parents l'apprenaient, alors elle serait foutue. Mais elle l'aime. De tout son corps, de tout son coeur, de toute son âme, et pour rien au monde elle ne changerait ça. Dehors, le ciel est noir et dégagé. Pas un bruit ne perturbe le silence presque pieux du manoir Kewell Granby. Dans la poche de la jeune femme, son téléphone portable vibre. Il est temps pour elle de partir : il l'attend. Dans l'antichambre elle se retrouve face à face avec celle qui avec le temps est devenue son unique amie, la seule en qui elle peut avoir confiance, celle vers qui elle se dirige en cas de détresse. Nereida. « Courrez Mademoiselle Kewell, je vous couvrirai en temps venu. » « Combien de fois t'ai-je dis de m'appeller Frankie, Nere ? » Ce n'est que quelques mètres plus loin qu'elle se retourna, un sourire sincère aux lèvres. « Merci. » Dehors, les rues sont silencieuses et personne ne semble se promener à une heure si tardive. Dans sa poitrine, son coeur bat la chamade, dans son ventre, les maintenant fameux papillons se font une place. Deux semaines qu'elle ne l'a pas vu. Deux semaines d'ennui, de peur, de besoin, de manque. Deux semaines, longues, interminables, d'attente. Enfin, l'Albert Dock se dessine au loin et déjà elle peut entendre le clapotis de l'eau. Alors qu'elle s'apprête à franchir les derniers mètres la séparant de leur point de rencontre, une main se saisit de son poignet, la stoppant dans son élan. Son coeur s'arrête : cette partie de la ville n'a jamais été un endroit très recommandé pour de jeunes filles seules. Ce n'est que lorsqu'une paire de lèvres frôle son oreille que son coeur reprend définitivement un rythme normal. « I've missed yer so much. » Son accent la fait sourire. Celui de la rue, celui qu'elle aime tant. Pas celui de la noblesse, malheureusement. Sans plus attendre elle se retourne et ses lèvres trouvent celles du jeune homme. Instantanément, ses mains viennent se perdre dans la chevelure du jeune homme, tirant légèrement sur les mèches soyeuses. Elle se sent en sécurité, libre, heureuse, complète. Lorsque les mains de Steven sont sur ses hanches, elle se sent prête à tout, prête à conquérir le monde et à découvrir l'inconnu, prête à s'en aller, à partir loin, loin, à courir sans plus jamais ô grand jamais se retourner. « Tu m'as tellement manqué. » Ses paroles ne sont que des murmures et pourtant, dans le silence inquiétant de la ville, ces quelques mots résonnent comme un cri. Un cri de détresse, de dépit, d'amour. Un cri de désespoir, d'attente, de ras-le-bol. Tout le poids qui a pesé sur les épaules de la jeune femme ces dernières semaines s'envole avec ses paroles, cet aveu. « Je ferais n'importe quoi Stevie, n'importe quoi... » « Je sais mon coeur, ne t'inquiète pas. Tout ira bien. » Et c'est là, dans le secret et le mystère de la nuit que leurs deux corps s'enlacent, s'embrassent, se retrouvent. Dans la chaleur et le rythme brûlant de leur amour, un amour sans fin et sans limites, un amour passionné et passionnel, charnel, sensuel, qui leur est interdit et qui pourtant donne un sens à leurs vies.

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▽ tell me now where was my fault, in loving you with my whole heart? manchester airport, angleterre. ; 2010.

frankie et l'inconnu ●● 'Frankie, j'aurais aimé ne jamais avoir à faire ce que je suis entrain de faire, mais on ne m'a pas laissé le choix. Vous devez quitter la ville, que cela vous plaise ou non. Vos parents ne veulent plus vous voir fouler les trottoirs de la ville avant nouvel avis. Vous partirez ce soir même, pour San Francisco, en Californie. Ils veulent vous envoyer le plus loin possible pour un certain laps de temps, Dieu seul sait combien de mois, combien d'années même peut-être, mais ils veulent laisser le temps aux gens d'ici d'oublier tout ça, ils veulent que tout cela s'oublie et ne soit plus qu'un triste souvenir. Vous savez comment marche la société ici : un seul faux pas ne pardonne pas. Vous êtes à présent fichée, et vous devez vous en aller si vous voulez un jour peut-être retrouver votre réputation d'avant. Vos parents, votre soeur et moi allons bientôt partir pour la maison de campagne et vos géniteurs m'ont tout bonnement interdit de vous réveiller. Cela me tue de faire ce que je suis entrain de faire, Mademoiselle Frankie, je peux vous le jurer. J'ai vu le regard de votre mère lors ce qu'elle a vu ces photos en premières pages du journal, et je l'ai comparé avec le votre sur ces mêmes photos, Mademoiselle Frankie, et ce que j'ai vu m'a brisé le coeur. J'ai vu les étoiles dans vos yeux, je les ai vu briller et sourire : j'ai vu le bonheur dans vos yeux Frankie. N'importe qui pourrait voir que vous êtes heureuses lorsque vous êtes aux côtés de cet homme. L'accepter est une autre chose, et vous connaissez vos parents bien mieux que moi. Je vous le redis encore une fois, j'aurais aimé ne pas avoir à faire ça. Vous séparer, c'est la pire tâche que l'on ne m'a jamais attribuée. Dans cette enveloppe se trouve un billet d'avion, celui qui vous attendra ce soir. Partez loin, et voyez ce départ comme une échappatoire, comme une chance. Je sais que c'est dur, que ça vous tue de l'intérieur : moi aussi j'y ai eu droit, il y a de ça vingt-trois ans maintenant. Et aujourd'hui, je ne changerai ça pour rien au monde. Pour avoir eu la chance de vous rencontrer, vous, mon petit diamant brut. Je ne devrais sûrement pas vous écrire tout cela, Mademoiselle Frankie, et si jamais votre mère demande à lire cette lettre avant que je ne vous l'envoie, je ne remettrai certainement pas les pieds dans votre Manoir, mais je me dois de le faire. Je voulais vous remercier, pour tout ce que vous avez fait pour moi, sans même vous en rendre compte. Pour m'avoir redonné goût à la vie après avoir quitté toute ma famille, pour m'avoir fait sentir à part, aimée. Vous avez été comme une enfant pour moi, Mademoiselle Frankie, et vous voir partir me donne envie de fondre en larmes, mais je sais, tout au fond de moi, que c'est pour votre bien et je sais que vous arriverez, un jour ou l'autre à vous retrouver. Vous êtes jeunes tous les deux et avez toute la vie devant vous. Je crois en vous, Mademoiselle Frankie, et je sais que vous allez faire de grandes choses. Du fond de mon coeur, je vous embrasse, et vous souhaite tout le meilleur pour votre futur. Merci. Pour tout.' « Last call for passengers travelling to San Francisco, California. Please proceed immediately to gate number 32. » Les jambes lourdes et les yeux encore plein de larmes prêtes à tomber, la jeune Kewell se lève de son siège et c'est d'un pas lent qu'elle se dirige vers la porte d'embarquement : embarquement pour une nouvelle vie. Passport à la main, prête pour un dernier contrôle, elle se permet de jeter un ultime regard en arrière. Non, elle ne pleurera pas, elle ne leur fera pas ce plaisir. Un petit sourire à l'hôtesse de l'air et il est temps pour la jeune Frankie de rejoindre son siège. Alors que l'avion prend son envole, ses yeux ne quittent pas la terre. Un dernier souvenir. Adieu le protocole, l'hypocrisie, les petits fours et la haute société. Adieu les formules de politesse en veux tu en voilà, les banquets interminables. Aujourd'hui, pour la jeune Kewell, c'est le commencement d'une nouvelle vie, un renouvellement. « Bonjour San Francisco, bonjour l'Amérique. »

bonjour toi petit moussaillon qui vient de débarquer sur mon scénario
j'espère sincèrement qu'il te plaît, et si tu comptes le prendre, alors voila quelques petites informations importantes pour que tout se déroule le mieux possible :

● avatar : il est négociable. cependant je dois avouer avoir un penchant pour pettyfer, non mais sérieusement, regardez-le mais si vraiment il ne te plait pas alors tu peux changer, mais une condition bien entendu : il se doit d'avoir les yeux bleus, parce que je l'ai mentionné dans ma fiche.

● pseudo : steven n'est pas négociable, cependant pour le nom de famille, c'est comme vous voulez ! un nom british de préférence, voir même pourquoi ne pas faire quelques recherches simples sur les noms de famille courants à liverpool ?

● rp : comme tout le monde je pense, je préfère de loin la qualité à la quantité. pour ce qui est de ma part, je ne suis pas du tout régulière dans la longueur de mes rps, tout dépend de mon inspiration. cependant, je tourne généralement autour des trente-quarante lignes. mais n'ayez pas peur si vous faites moins, le minimum demandé par le forum devrait le faire, je m'adapterais

● présence : je sais qu'on a tous une vie en dehors du rp et qu'il est parfois dur de passer tous les jours sur un forum, moi la première ! alors je ne vous demande pas d'être ici à rp tous les jours, pour moi deux voir trois réponses par semaine suffisent bien entendu, plus ne me dérangerait pas hein, faut pas forcément me prendre au mot hein

voilà, je pense que c'est tout ce que j'avais à dire. j'espère donc que ce scénario te plaira à toi, ou alors à quelqu'un d'autre, mais j'espère qu'il plaira quiconque prendra mon steven, et bien je l'aimerai, je le chérirai et je le couvrirai de mps trop mignons trop adorables

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