Diana Weston
❖ MESSAGES : 10 ❖ INSCRIT DEPUIS LE : 22/09/2012 ❖ PSEUDO : midnight.heaven ❖ AVATAR : ashley benson ❖ CREDITS : sonambule. ❖ PÉCHÉS MIGNONS : underco
| Sujet: Diana ► can the memories ease the pain? Sam 22 Sep - 22:58 | |
| weston, diana. Can the memories ease the pain. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
heaven is a place on earth with you.nom complet : Diana Ginger Weston. ✜ âge : 21 ans. ✜ date et lieu de naissance : le 21 avril à San Francisco. ✜ nationalité et origines : américano-française. ✜ profession/études : étudiante en droit. ✜ statut civil : célibataire. ✜ situation financière : moyenne. ✜ groupe : off the races. ✜ avatar : ashley benson. somewhere along in the bitterness.chocolat ou vanille: chocolat. ✜ nuit ou jour : nuit. ✜ amour ou amitié : amitié. ✜ sucré ou salé : sucré. ✜ lève tôt ou lève tard : lève tard. ✜ thé ou café : café. ✜ soleil ou pluie : soleil. ✜ rencontre hasardeuse ou calculée : hasardeuse. ✜ câlin du matin ou câlin du soir : du matin. ✜ mer ou montagne : mer. SOURIANTE, IMPULSIVE, FIDÈLE, FRAGILE, COMPRÉHENSIVE, ARROGANTE, INTELLIGENTE, N'A AUCUNE CONFIANCE EN ELLE-MÊME. a toujours besoin de son café matinal au risque d'être de mauvais poil toute la journée + on lui a toujours dit que les lunettes la rendaient incroyablement sexy mais elle s'obstine à ne pas en mettre, même pour lire, alors qu'elle en a grandement besoin. Heureusement que les lentilles existent + ne se considère pas comme une fille superficielle mais comme quelqu'un de très féminine. D'ailleurs, sa garde-robe est extrêmement bien fournie + a la sale habitude de taper du pied, de se ronger les ongles, de soupirer et de claquer sa langue contre son palais quand elle est énervée, exaspérée, blasée,... + est d'origine française par sa mère et a la chance d'être bilingue anglais-français + rêve de voyager dans le monde en bateau, voiture, train et autre moyen de transport sauf l'avion + déteste tout ce qui est bestiole, même les fourmis et pour elle, les mouches sont les créatures du diable + a toujours besoin d'un chocolat chaud avant d'aller dormir + a toujours une peur bleue de l'orage même à son âge et n'hésite pas à ressortir ses peluches pour essayer de se calmer + adore cuisiner, surtout des pâtisseries. D'ailleurs, la gourmandise est son péché mignon and all this devotion was rushing out of me.J’étouffe… Je souffre… Je ne peux plus rester dans cette maison alors qu’IL est toujours à mes côtés, lui qui fait battre mon cœur à la chamade, lui qui me rend toute chose. Pourquoi? Je n’ai jamais rien voulu de tel! Pourquoi n’ai-je pas pu le voir que comme un simple ami? Comme mon meilleur ami? Pourquoi a-t-il fallu que mes sentiments s’en mêlent? Tant de question dont je ne pourrais trouver la réponse. Jamais je n’aurais dû accepter sa proposition. J’aurais dû rester avec ma mère, j’aurais dû ne pas le connaître même. Certes, nos moments passés ensemble ont sans doute été les meilleures de toute ma vie, mais maintenant, le voir tous les jours me fait souffrir. J’ai mal… S’il vous plait, faite taire cette voix dans ma tête qui me dit de ne plus avoir peur, d’être courageuse. Je ne peux pas… Je ne veux pas… Sans lui, je ne serais plus rien. Grâce à lui, j’ai la force de continuer à aller de l’avant. Certes, je reste toujours cette fille détestable mais j’arrive à m’apprécier un peu plus. Je sais que je n’ai toujours pas confiance en moi, qu’un rien peu me détruire. Mais grâce à lui, je peux y arriver…
J’étouffe… Je souffre… Le voir loin de moi serait tout simplement impossible et pourtant… Je sors de cet appartement, je cours dans les rues de San Francisco. J’arrive au parc, je pers mon souffle. Je suis épuisée, tellement épuisée. Je n’ose presque plus fermer les yeux, de peur de le voir encore et encore, venir m’aimer dans mes rêves. Mais ce ne sont que des rêves justement. Je ne suis que sa meilleure amie, rien de plus, rien de moins. Et pourtant, j’aimerais tellement… Mais, d’un côté, j’ai tellement peur… Je ne veux pas me mettre en couple, je n’ose pas. Je sais que si je le fais, je souffrirais comme ma pauvre mère a souffert.
FLASH BACK
« Maman ? Pourquoi tu pleures ? » « Je ne pleure pas ma chérie. C’est l’ail qui fait couler mes larmes. » Menteuse… Pourquoi me mens-tu alors que tu souffres tellement maman ? Je t’entends tu sais ? Tous les soirs, à pleurer en silence… A chaque fois que je passe devant ta chambre, j’entends tes reniflements, je perçois tes larmes à travers la serrure. Tu souffres et pourtant, je ne peux rien faire… « Il revient quant papa ? » Je sais que je ne devrais pas poser cette question. Mon cœur se serre à la vue de tes yeux remplis de larme. « Je ne sais pas ma chérie. Il a beaucoup de travail tu sais… » Menteuse… Il nous a abandonné maman, je le sais… Il est avec cette poufiasse, je le sais, je les ai vu maman. « Fais-moi plaisir, veux-tu ma chérie ? Va mettre la table, le dîner est bientôt prêt. » Je t’obéis sans rien dire, parce que je sais que c’est le seul moyen pour toi de ressentir encore un peu de bonheur dans cette maison. Parce que je suis là, tu ne lâches pas. Tu es tellement forte maman… J’aimerais être comme toi. Et papa… Je le déteste, oui, je le déteste pour faire de toi, une femme qui cache ses larmes à sa fille, une femme qui souffre en silence, sans rien faire. Parce que maman t’aime encore, elle ne veut pas te lâcher. Mais tu sais papa ? Un jour, tu te rendras compte de ton erreur et tu reviendras vers ta petite famille, vers ta femme et ta fille qui t’attendaient. Seulement, papa, ce jour-là, tu nous perdras définitivement.
FIN FLASH BACK
J’avais envie de pleurer… Rien que de penser à mon père, à ma mère, mes larmes de rage me montaient aux yeux. Non, je ne l’ai toujours pas pardonné… D’ailleurs, je ne l’ai plus jamais revu depuis le jour où il nous a définitivement abandonné, 10 ans auparavant. Certes, j’ai eu de ses nouvelles quelques mois auparavant mais.... Je n’étais qu’une petite fille de 11 ans, encore innocente… Il a réussi à me briser en quelques petites minutes. Des souvenirs heureux ? J’en ai sûrement eu sauf que je ne parviens pas à me les rappeler. Tout ce que je retiens, c’est tristesse et abandon, trahison et colère, des sentiments néfastes pour une fille de cet âge-là. Et après, on s’étonne que j’ai peur de l’engagement. Oh bien sûr, j’ai eu des petits copains durant mon adolescence mais jamais de vraiment sérieux. Mais avec Owen, c’était différent. Je me souviens encore de notre rencontre comme si c’était hier.
FLASH BACK
Et merde, j’allais encore être en retard. Pas que c’était une habitude, mais c’est tout comme. Ce n’est pas de ma faute si j’ai pris trop de temps pour me préparer ! C’est qu’il faut toujours être beau quand on sort de chez soi, même pour aller au supermarché ! Oh, je vous entends déjà… Non, je ne suis pas superficielle, j’aime juste mettre mon charme naturel en valeur et il n’y a aucun mal à ça, pas vrai ? Bref, je courrais dans les couloirs de l’université, quand soudain… Et voilà que je me retrouve avec mes affaires éparpillées sur le sol ! « Non mais tu pouvais pas faire attention ?! Ca te sert à quoi les deux trous qui te servent de yeux ?! A regarder, espèce d’idiot ! » La réaction ne tarda pas à se manifester, sauf qu’elle était différente de tout ce que je m’imaginais. Le gars était en train de rire ! « Non mais en plus d’être aveugle, tu te fous de ma gueule ?! » Oui, j’étais vexée. Ce gars se moquait ouvertement de moi ! Je n’arrivais tout bonnement pas à y croire. J’allais encore lui sortir une pique quand il me devança. « Désolé, je ne voulais pas rire de toi, je te le jure. Je me présente, Owen. Si tu veux encore me traiter d’idiot, n’hésite pas à venir me voir en cours de droit international dans l’amphithéâtre 201 ! » Mes yeux s’ouvrirent tout grand. J’étais bouche bée. En plus de s’excuser, il se présentait et n’hésitait même pas à se faire ridiculiser encore plus en me demandant de venir le voir ! Sans m’en rendre compte, un sourire vint souligner mes lèvres. Je sens que ce gars, j’allais l’apprécier. « Enchantée Owen, moi c’est Diana ! Et quelle chance tu as, j’ai également cours de DI ! » « Et bien, chère demoiselle, me feriez-vous l’honneur de m’y accompagner ? » Je n’ai pas attendu une seule seconde et j’ai accepté. Au lieu de suivre le cours, nous avons discuté, faisant ainsi connaissance. J’ai alors appris que nous avions la plupart des cours en commun vu que j'étais en droit et lui en science politique. Je me suis toujours demandée comment ça se faisait que je ne l’avais jamais remarqué auparavant. D’un côté, vu le nombre d’étudiants présents dans les auditoires, ça ne m’étonnait guère… En tout cas, il me plaisait bien et je sentais que nous pouvions vraiment bien nous entendre.
FIN FLASH BACK
7 mois… Voilà maintenant 7 mois que nous nous connaissions, 7 mois que nous nous fréquentions. Nous sommes justes devenus inséparables. Il était mon meilleur ami – et l’est toujours d’ailleurs – et même si je souffre de n’être qu’une amie à ses yeux, il m’est tout bonnement indispensable. Bien entendu, je ne le lui montre pas. Non mais et puis quoi encore ? Je ne peux pas le lui dire, je risquerais de gâcher notre amitié. Et puis, si jamais notre relation changeait… Et s’il finissait par se lasser de moi ? Et s’il finissait par m’abandonner comme mon père a abandonné ma mère ? Rien que d’y penser, mes larmes me montèrent aux yeux. Non, je ne pouvais pas, il ne fallait pas. J’inspirais profondément avant de relâcher mon souffle. Je ne pouvais pas pleurer comme ça, pas ici en tout cas. Tout le monde pourrait me voir ! Et jamais, au grand jamais, je ne laisserais le monde voir ce côté fragile que j’essaie par tous les moyens de cacher. Même à lui… J’ai essayé de le lui cacher mais il a fallu que tout bouscule ce soir-là, le soir où il a appris cette partie que je faisais tout pour cacher. Et je crois que… Oui, c’est sans doute à ce moment-là que je suis tombée amoureuse de lui…
FLASH BACK
Cet imbécile, ce connard, ce ce… comment avait-il pu ?! Il m’avait, non, il nous avait abandonné 10 ans auparavant et c’est maintenant qu’il pense à recontacter sa fille ?! Je le détestais tellement. J’ai hurlé toute ma rage et toute ma peine. Je le détestais tellement. Je n’ai pas pu… Je suis partie de chez moi sans prévenir ma mère et je suis allée chez la seule personne qui était toujours là pour moi, Owen. J’ai frappé à sa porte rageusement, plusieurs fois, m’acharnant sur cette pauvre plaque de bois. « J’arrive, j’arrive ! Tiens salut Diana que me vaut ta douce visite ?» Je n’étais vraiment pas d’humeur à rigoler. Je suis entrée dans son appartement en le poussant. J’ai jeté mon sac sur son canapé et je me suis mise à crier. Je voulais balancer tout ce qui me passait par la main, que ce soit un vase ou même un meuble. Il a du voir ma colère parce que rapidement, je sentais ses doigts dans mes cheveux, son bras autour de ma taille. Non… Il ne devait pas me prendre dans ses bras, ce n’était pas sauf… Je me suis débattue comme une folle « Lâche-moi tout de suite Owen ! Mais lâche-moi putain ! » « Pas tant que tu ne me diras pas ce qui si c’est passé. » « Ca ne te concerne pas alors lâche-moi espèce d’imbécile !» « Alors pourquoi es-tu venue me voir hein ? » « Parce que… Parce que c’est tout, merde ! Lâche-moi maintenant ! » Je m’étais mise à le frapper pour qu’il me libère, mais sa poigne était plus forte. Doucement, il s’est mis à chanté, sachant que ça me calmait de mes petites colères. Sa voix était tellement apaisante. Je me débattais moins et… Doucement, mes larmes ont commencé à couler. Jamais, jamais je n’ai pleuré devant lui. Je me l’étais toujours interdit. Je voulais que ça s’arrête, mais ces perles d’eau continuaient de couler, encore et encore. Mon visage niché dans le creux de son cou, j’ai pleuré toute ma tristesse, toute ma souffrance, tout le manque que je ressentais dans mon cœur après le départ de mon père. Je crois que si Owen ne me retenait pas, je serais tombée sur le sol. Et j’ai pleuré, encore et encore. « Je le déteste ! Je le déteste tellement ! Pourquoi nous a-t-il abandonné ? Pourquoi ne m’a-t-il pas donné de nouvelles plus tôt ?! Je n’ai rien eu de lui en l’espace de 10 ans et c’est maintenant qu’il se rend compte qu’il a une fille ?! Je le déteste ! » Et j’ai continué à me plaindre, je continuais de crier, je continuais de pleurer. « Mais c’est de ma faute, j’en suis sûre ! Si je n’avais pas été une enfant aussi égoïste, il ne nous aurait pas abandonné ! J’aurai dû lui dire que je l’aimais, je n’aurais jamais dû me plaindre de toutes ses absences. C’est de ma faute. C’est de ma faute si papa est parti avec sa poufiasse, c’est de ma faute si maman pleurait tous les jours. Tout est de ma faute ! » Ses doigts caressaient mes cheveux, sa voix me rassurait, me disant que je n’étais en rien fautive. Seulement, je n’arrivais pas à me défaire cette idée de ma tête. J’ai pleuré de longues heures… Et j’ai fini par m’endormir. Quand je me suis réveillée, il était endormi à mes côtés, me tenant la main. Je me suis sentie tellement rassurée, mais honteuse à la fois, de m’être emportée ainsi. Doucement, je l’ai embrassée sur la joue avant de me dégager de sa douce poigne. Je lui ai écrit un mot de remerciement et je suis rentrée chez moi.
FIN FLASH BACK
« Diana ! » Je levais mon visage vers lui. Il courrait vers moi. Je lui souris. « Mais où étais-tu passée ? Je t’ai cherchée partout ! » « J’étais ici, ça ne se voit pas ?! Tu aurais pu me téléphoner, pas besoin de me chercher comme un idiot dans toute la ville ! » « Si tu avais allumé ton téléphone, ça aurait un peu plus servi, tu ne crois pas ? » Je sentais le rouge me monter au joue. Un coup de langue résonna contre mon palais. « Tais-toi imbécile ! Allez, on rentre ! » Je me levais d’un bond et sans demander son avis, je me dirigeais vers mon appartement, son appartement, notre appartement. happiness, it hurt like a train on a track.pseudo/prénom : midnight.heaven ✜ âge : écrire 21 ans. ✜ où as-tu connu le forum : bazzart. ✜ te plait-il : non, il pue . ✜ temps de connexion : 7/7. ✜ ton personnage est-il un scénario : nop. ✜ un dernier mot : . ✜
Dernière édition par Diana Weston le Sam 22 Sep - 23:46, édité 8 fois |
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Marley Donwell IT'S LIKE A DARK PARADISE.
❖ MESSAGES : 359 ❖ INSCRIT DEPUIS LE : 02/09/2012 ❖ PSEUDO : Skinny Love/Clémence. ❖ AVATAR : Nina Dobrev. ❖ CREDITS : Bombshell. ❖ PÉCHÉS MIGNONS : Les macarons à la framboise, les pâtisseries, le whisky, faire l'amour dans une vieille voiture, se prélasser au soleil, faire du shopping, dormir, la bière, marcher à pieds nus, les films à l'eau de rose, faire la fête, le café, la cigarette, passer ses journées chez elle avec sa princesse. ~ i need you babe ~❖ PSEUDO SITE: Sweet Lullaby.❖ ÂGE: Vingt-cinq ans.❖ RELATIONS:
| Sujet: Re: Diana ► can the memories ease the pain? Dim 23 Sep - 7:32 | |
| Ashleeeeeeeeeeey. Bienvenue sur le forum, je te valide! Bon jeu! |
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