nom complet : carrheart oliver. ✜ âge : 21 ans. ✜ date et lieu de naissance : san fransisco. ✜ nationalité et origines : au choix. ✜ profession/études : pour le métier, vous êtes libre, mais j'imaginais Oliver comme étant libraire ou disquaire. bref, je l'imagine assez vendre des trucs dans une petite boutique, un métier tout con mais rare sur les forums. ✜ statut civil : célibataire. ✜ situation financière : la situation financière d'Oliver tout sauf aisée, donc s'il vous plait, évitez le fils à papa riche et plein aux as ! ✜ groupe : au choix. ✜ avatar : dave franco.

Oliver est né à San Fransisco, mais j'aimerais qu'il aille des origines anglaise (oui, j'adore ce pays) soit par sa mère, soit par son père + en ce qui concerne son enfance, je le vois fils cadet d'une famille plus ou moins nombreuses (un frère/une soeur minimum) + son enfance aurait été à la Oliver Twist, j'aime assez l'ambiance de ce bouquin. + je le vois bien trainant dans les faubourgs de la ville, portant des habits un peu délavés et rapiécés + ses parents n'auraient pas énormément de moyens, je vois bien toute la fraterie Carrheart assis autour d'un bol de soupe (à l'image des frères Gavroches dans les Misérables) + Oliver serait l'enfant le plus "décalé" de la famille, dans le sens où, contrairement aux autres, il se complairait dans la pauvreté de sa famille et n'y verrait que très peu d'inconvénients + je le vois artiste, ouvert d'esprit et suffisamment marginal pour ne s'intéresser qu'aux choses rares et exhubérentes + sa passion serait la poésie et ce point n'est pas négociable, c'est ce qui fait le fondement du lien qui unit Oliver à mon personnage + il quitterait les études après avoir obtenu le diplôme de base (donc la scolarité obligatoire) + je le vois bien quitter la maison très tôt, pour se mettre à son compte + il est dôté d'une extrême intelligence mais Oliver est un garçon qui fume, boit et qui abuse des drogues lorsqu'il a besoin d'écrire + il aime les femmes, les hommes + il a un problème de diction minime, qui ne se perçoit que très difficilement, mais il bute sur tous les mots se terminant par "ant" qu'il prononcerait mal + il est daltonien ! + il a un côté très mauvais garçon à l'instar d'une facette plutôt douce, aussi + je le vois bien se la jouer Dr Jekyll & Mr Hyde + il est indépendant et apprécie sa propre liberté.

Va donc voir plus loin si j'y suis Carrheart ! Ta gueule McNolan, tu m'emm*rdes là. Le courant ne passe pas, il n'a jamais passé. Ce n'est pas question de mauvaise volontée mais tout simplement de mésentente directe due tout simplement aux deux univers controversés dans lesquels évoluent les deux jeunes hommes. L'un utilise la rime pour exprimer combien le monde est dépravé, dégueulasse et sale, injuste et intolérant, tandis que l'autre utilise sa plume pour conter des histoires farfelues d'un monde onirique qui n'existe que dans son esprit. Tes écrits ne sont rien d'autres que des vomissures, Carrheart. Ta littérature est moindre, si moindre qu'elle est quasi-inexistante. Les rares fois où ils se croisent deviennent généralement des instants presque privilégiés pour tous les spectateurs. L'un comme l'autre ne trouve pas de terrain d'entente. Ils ne cessent de s'envoyer remarques sur remarques en espérant que la compétition prendra un jour fin. Magel', ma poésie vaux de l'or en brique. Tes chiures de mouches, elles, ne valent pas un pet ! Deux caractères aux antipodes l'un de l'autre. Tout a commencé lors de leur première rencontre, un duel lancé, un défi entre deux littéraires, deux grosses têtes. Ils postulaient pour être publié par l'un des journaux le plus célèbre de SF et, bien que Magellan ne soit pas du genre à être mauvais perdant, la défaite lui resta néanmoins en travers de la gorge. Une défaite qu'il n'arrête pas de ramener lorsque son chemin croise celui du mec qui a osé lui volé une opportunité aussi fringante. L'un débarque d'une époque révolue, l'autre parle à la manière des jeunes d'aujourd'hui. Les critiques sont unanimes, la poésie d'Oliver vaux plus que les écrits de Magellan. C'est précisément à cause de cette rivalité que les deux hommes ne parviennent pas à s'entendre. S'il n'y avait pas cette somme d'argent si intéressante à la clé, je te promets que jamais je n'aurais accepté de travailler avec toi ! Il se trouve qu'assez récemment, un éditeur plutôt célèbre est tombé sur les écrits des deux hommes et les a convaincu, moyennant une somme d'argent assez importante, de collaborer sur un projet original et jamais vu ; un roman dans lequel se mêlerait deux styles complètement différents. C'est à cause de cette simple opportunité que les deux hommes sont amenés aujourd'hui à se cotoyer bien plus souvent. D'un studio vétuste à un autre, ils se fréquentent et essayent d'écrire. Le problème, c'est qu'ils n'avancent pas suffisamment vite pour l'éditeur qui s'impatiente. Et pour cause, les rares fois où ils se retrouvent dans la même pièce, ils n'arrêtent pas de s'échauffer... Aujourd'hui, ils sont à un pic important de leur hypothétique carrière. A eux seuls, ils ont la possibilité de devenir quelqu'un, moyennant quelques efforts. Alors les poings serrés, ils collaborent sur un projet commun, espérant l'achever suffisamment rapidement pour ne pas avoir à se supporter plus longtemps. Le problème, c'est que depuis quelque temps, Oliver attend avec impatience de retrouver Magellan... ce n'est pas qu'il soit amoureux, mais il adore voir son collègue s'énerver, il y trouve une certaine excitation qui ne cesse de le questionner sur un seul point ; serait-il prêt à tout céder, face à l'ennemi ?