∆ WHEN I WAS YOUNGER.
teddy et kimberly.

Samedi après-midi, le parc avec toi. Le vent dans mes cheveux, me rappelant cette odeur d'herbe fraîche. Un décor de rêve, à cet âge tout semble si magique. Jouée à cap ou pas cap sur les marches d'un vieux chalet. Faire des couronnes de fleurs, te les offrir pour te faire sourire. Mini-bn au goûter, nos distributeurs de sourire. Boire de l'eau du puits et s'en mettre plein les chaussures. De l'herbe dans les cheveux, des doigts aussi sale qu'un éboueur. Faire de ricocher avec des pierres plates, jouait à saute-mouton. Gravais nos nom sur un tronc d'arbre, pour laisser notre trace. Se déconnecter du monde extérieur pour vivre comme dans un dessin animé. Essayaient d'attraper les nuages en haut d'une colline, et la descendre en ce roulant dans l'herbe. Se dressait une cabane à partir de vielle branche d'arbre et d'une couverture. S’inventait une vie parfaire pendant l'espace d'un moment. Sauté dans des flaques de bout, se jeter dans l'eau du lac pour se nettoyait. Se sécher au bord d'un feu, saucisse et chamallow. S'allonger sur les feuilles mortes, main dans la main. Contemplaient les étoiles, leur trouver une histoire. Un vent frais caressant mes jambes à moitié nues. Un sourire scotché depuis le début de notre journée. Nos voix faibles à force d'avoir trop ri. Se promener dans la forêt en s’inventant des histoires. Jouée à cache-cache entre deux arbres. Rentré le cœur léger et épuiser. Se créent des souvenirs, se crée des regrets.







∆ DROP IN THE OCEAN.
teddy, kimberly et moman.


Tu devrais vraiment stopper tes activité » sportive, et te trouver un gentil garçon. Fondé une famille, ou partir en amoureux sur la côte d’Azur, Bahamas, Miami ou autres destination fait pour les amoureux. Mais non, à vingt ans, tu n'avais qu'une seule ambition : devenir la meilleure, êtres la meilleure, réussir sa vie dans la peau de la meilleure. Que ce soit dans les activités en dehors de l'université, les études ou encore les petits traqua de la vie, comme réussir un bon souffler. Mais bon, de la part de l’aînée des O'coneil-Fawkes ça n’étonnai personne que tu n'avais jamais eu un seul petit ami depuis le début de ton adolescence. Et pourtant ce n'est pas les prétendants qui manque, combien de mecs ton déjà tourner autours pour t’invitai à sortir ? A un brunch entre ami ? A un café amicale ? Mais non, t'es pas comme ça, tu préfère décliner « gentiment » et passer à autre chose, quitte à briser des cœurs. De toute façon, tu avais lue assez de choses sur l'amour pour savoir que les mecs était tous des con, qu'ils pensant uniquement par le pantalon et qu'ils ne ferais que te briser le cœur. Comme on dit : vaut mieux prévenir que guérir. C'est dans tes gênes, ta mère était comme-cela, elle avais rencontré ton père via ses parents et ils étaient tomber amoureux comme dans les contes des fées, avant tu adoré cela, les conté de fée, les histoires magique à la con que la société te met dans le crâne. C'est à cause de ses conneries, que les vielles fille aigris existe. Et pourtant, vous n'êtes pas toute comme cela dans la famille, ta sœur par exemple. A à peine dix sept ans, et c'était déjà taper toute l'équipe de rugby de ton ancien lycée, oui j'exagère peut êtres un peu. Kim avait le dont de rendre ta mère furieuse, et ton père de croire que votre génération était désespérante, mais elle n'as jamais était une pute de base, qui se tape tout le monde. Enfin sur sa page facebook elle le revendiquer, mais tu avais un peu d’espoir dans ton cœur, pour espère que ce ne soit que des rumeurs et que tout ça était pour rendre votre père hors de lui. D'ailleurs ça avais déjà faillit marché, quelque jour avant Noël, il était à deux doigt de la foutre dehors, dans la neige et le froid. Si tu ne t'était pas dresser devant lui, pour lui expliquer que de nos jours les adolescent avait besoin de « liberté ». Cela avait précipité ton déménagement et vous étiez à présent toute les deux, dans un appart à deux chambre, ou le salon et la cuisine son mélanger. Kim, n'avais pas parler de ça depuis, elle avais dit qu'elle s’excusait et pas plus. Elle ne rentré presque jamais là, ce qui te laisser un grand appartement pour toi toute seule, ce dont tu avais toujours rêver. Mais tu n'arrivais pas à dormir de la nuit, pensant à cette petite dévergonder qui était en train de gâcher sa vie, et de rentre la tienne plus compliquer qu'elle ne les déjà. Tu aurais aimé qu'elle soit un peu plus comme toi, ba oui, posé, douce, délicate, aimais de tous ! Tu savais bien que ça n'allais jamais arriver, mais tu était beaucoup plus tendre quand il s'agissait de ta sœur. Chose qui n'arrive jamais quand il s'agit de garçon. D'ailleurs, plusieurs on essaye de faire de toi leur nouvelle proie. A peine arriver à l'université, tout les regard était poser sur toi et ta petite robe vintage spécialement acheter pour l'occasion. En l'achetant, tu penser que ça allait « se fondre dans le décor » mais malheureusement tout le monde était en jean slim taille base, et toi la seule en tenue de brunch ! Tu t'étais promis de faire des effort par la suite, mais rien à faire ton coter intello ressors à chaque fois que le prof dit « cela compteras pour votre note finale ». Et puis on ne peut pas se battre constamment contre soit même. T'es une intello, un peu coincé sur les rebord, qui croit en tout et n'importe quoi tant que c'est scientifiquement prouver, qui aime les glace à la vanille plein de petite de chocolat, et qui danse sur des chanson de mamma mia dans ses moments perdue.